Dès huit ans, son éveil photographique se fait, sans appareil, par la créativité des photogrammes dont il découvre la magie de la chimie argentique.
Rapidement, son papa lui confie un appareil à soufflet 6x9 "gros trous", puis un 24x36 "Foca Sport" à visée télémétrique.
Rapidement, son papa lui confie un appareil à soufflet 6x9 "gros trous", puis un 24x36 "Foca Sport" à visée télémétrique.
Un professeur lui ouvre le regard et lui permet d'acquérir les techniques de la prise de vue 6x6, du laboratoire noir & blanc, de l'agrandissement géant et de la présentation en exposition, alors qu'il suit des études de paysagiste dans la plaine vosgienne.
Plus tard, il anime un club photo, expose ses images et organise ou anime de nombreux stages avec son premier appareil reflex semi-automatique.
Plus tard, il anime un club photo, expose ses images et organise ou anime de nombreux stages avec son premier appareil reflex semi-automatique.
Alors qu'il est professionnellement responsable socio-culturel, avec d'autres amateurs, il participe modestement à la création du "Mai Photographique " de Quimper tout en continuant sa pratique amateur.
Il rencontre le photographe Laurent Biancani, suit l'un de ses workshops où il affûte son sens
esthétique, découvre le studio et ses lumières. Puis devient rapidement l'un de ses assistants aux mythiques stages de la station des Arcs.
Il rencontre le photographe Laurent Biancani, suit l'un de ses workshops où il affûte son sens
esthétique, découvre le studio et ses lumières. Puis devient rapidement l'un de ses assistants aux mythiques stages de la station des Arcs.
Au cours d'un bref passage dans le journalisme spécialisé du monde de la photographie, (Chasseur d'images) François Quinio rencontre dans ses reportages des professionnels français dont le travail, l'incite à passer le pas et devenir photographe portraitiste.
Il ouvre boutique dans une station du Sud Bretagne et pratique "le portrait sans obligation d'achat". Ses confrères n'acceptent pas cette formule. Poussé par la clientèle, il développe son activité de photographie sociale au centre de Quimper où il crée un studio de photographie publicitaire.
Il ouvre boutique dans une station du Sud Bretagne et pratique "le portrait sans obligation d'achat". Ses confrères n'acceptent pas cette formule. Poussé par la clientèle, il développe son activité de photographie sociale au centre de Quimper où il crée un studio de photographie publicitaire.
Sa pratique du moyen format évolue vers l’usage de la chambre photographique en 4x5’ et 20x25 cm. Il adhère à L'Association Nationale des Photographes de Publicité et de Mode (aujourd’hui UPP) dont il devient responsable régional et vice-président national.
Son engagement de toujours dans ce moyen d'expression qu'est la photographie, l'amène à prendre la responsabilité d'enseigner la photographie professionnelle à Rennes et Paris.
Il contribue parallèlement au développement des premiers pas de la photographie numérique en relation avec les fournisseurs et des studios publicitaires avec qui il travaille comme consultant.
Il contribue parallèlement au développement des premiers pas de la photographie numérique en relation avec les fournisseurs et des studios publicitaires avec qui il travaille comme consultant.
Ces dernières années, François Quinio photographe auteur, était concepteur et réalisateur d'images photographiques pour le particulier, l'édition et la publicité. Il intervient comme photographe formateur indépendant auprès des entreprises. Il communique sa passion de l’image auprès des professionnels et des photographes amateurs.
Il a longtemps fait équipe au sein du collectif de photographes “vers1ailleurs” dans une démarche de projets avec les citoyens où il concrétise la notion ancienne de photographie foraine, et celle de la co-signature des photos par deux auteurs ancrés dans des territoires ruraux transformés en “terroir de photographiés”.
Se présentant aujourd'hui comme "artiste du regard", il expérimente une autre facette de ce métier aux myriades d’applications et de commanditaires. Le photographe privilégie un rapport photographique exclusif de collaboration avec les femmes dans le projet “Femme imagée”.